

Pourquoi s'attarder, ici, sur ces innocentes scènes de jogging, dont on dénonce justement le pouvoir hypnotique ? Parce qu'elles sont bien moins innocentes, justement, qu'elles ne le prétendent. Leur pouvoir de séduction leur permet de statufier, de ringardiser, d'expulser hors champ tout ce qui n'est pas elles. En comparaison de la séquence jogging, tout le reste semble statique, poussiéreux, grisâtre, et comme désincarné.
En essayant de forcer les médias à s'intéresser à cette course en avant, comme d'ailleurs au côté festif de son début de mandat (du Paloma aux week-end successifs à Brégançon - et nous ne sommes pas passés très loin d'une virée à Cannes...), l'équipe de Nicolas Sarkozy tente habilement d'occulter les sujets qui pourraient fâcher : franchise(s) médicales, service minimum, carte scolaire, etc...
Il s'agit tout bêtement d'un axe fort de la manipulation communication présidentielle dans sa première séquence : détourner notre attention, nous obliger à regarder ailleurs. Juste à côté.
D'où la nécessité d'être vigilants et de refuser de nous arrêter sur des images qui ne nous sont jetées en pâture que pour nous contraindre à ne pas voir le reste. Tout le reste.
"Adapté du livre éponyme de François Emmanuel, la Question humaine propose une thèse violente : le libéralisme contemporain est l'enfant, génétique et généalogique, du nazisme. (...) Au sortir de la Question humaine , c'est le mot (et le sentiment) étrange de «massivité» qui nous pesait sur le ventre et nous tournait dans la tête."
Un rapport à paraître en juin révèle que 17 000 pièces du mobilier national se sont évaporées. Avant de quitter Matignon, Dominique de Villepin avait recommandé à ses ministres de dresser un inventaire pour le remettre à leur successeur.
Aujourd'hui, 180 000 oeuvres (tableaux, tapisseries, commodes, tapis, miroirs) sont prêtées par la Direction des musées de France, le Mobilier national et le Fonds national d'art contemporain (Fnac). Ces pièces se déplacent dans les ministères, les ambassades, les préfectures, à l'Assemblée et au Sénat au gré des changements de gouvernement. Mais avant son départ de Matignon, Dominique de Villepin a pris soin de rappeler à chacun de ses ministres qu'ils devaient dresser un inventaire sortant du mobilier et le remettre à leur successeur. Une injonction nécessaire au regard des vols, des pertes et des destructions du patrimoine français. Dans un rapport qui sera publié en juin, la commission de récolement, chargée de lister le nombre de pièces en circulation dans les administrations françaises, estime que 15 % d'entre elles se sont évaporées. Soit quelque 17 000 oeuvres. Déplacées, oubliées dans des caves mais aussi volées... La commission révèle qu'au « top 50 des kleptomanes », le ministère de la Culture coiffe au poteau tous ses camarades. Résultat, rue de Valois, depuis cet hiver, seuls les bureaux du ministre et celui de son directeur de cabinet sont désormais meublés par le Mobilier national.
Source: Le parisien
REFLECHIR AVEC QUI ?11 h 20 Réfléchir avec le Venezuela :- Le socialisme du XXIème siècle, Général José ALBORNOZ, Membre de l’Etat-major du Président Hugo Chavez, Président de la République du Venezuela.
Déjeuner libre
15 h 30 Réfléchir avec la Chine :- Le modèle chinois, Xiaolin MA, Doctorante (Chine)15 h 50 Réfléchir avec le Brésil :- Le projet politique du Président Lulla, Iure PONTES VIEIRA, Doctorant (Brésil)16 h 10 Réfléchir avec une alliance de civilisations Europe – Amérique latine : Me Norma CABALLERO, Avocate (Barreau de Bogota), Liliana GONZALEZ URDANETA, Doctorante (Caracas)16 h 40 Réfléchir avec la France :- Quel projet politique en France ?, Alain SORAL, sociologue17 h 10 Conclusion, Pr Jean-Claude MARTINEZ
«Actuellement, je reçois deux ou trois lettres par jour dans lesquelles des gens font la démarche de prendre une feuille, un stylo et de m'écrire: «M. Noah, quand allez-vous rentrer chez vous?»
«Mon côté africain n'est pas très à l'aise avec cela», dit-il.
d'annoncer Jésus Christ aussi bien aux peuples qui s'ouvrent pour la première fois à la foi, qu'à ceux de leurs enfants qui viennent aujourd'hui vivre et travailler en Italie, et qu'à notre propre peuple [...] soumis aux pressions des tendances sécularisées qui veulent dominer la société et la culture de notre pays et de toute l'Europe.
Alors qu’on dénonçait à l’envie dans le camp du politiquement correct l’association de l’immigration et de l’identité nationale, soit une assise idéologique qu’on aurait décelé dans le camp de l’UMP, Brice Hortefeux a déclaré le contraire en ces termes : « ma démarche est dénuée de tout dogmatisme, de tout a priori, ce sera fait avec beaucoup de pragmatisme ». Or on sait fort bien que le pragmatisme est ennemi de toute précision théorique - précision appelée par l'intitulée même du ministère - et que la définition de l’identité nationale doit être tout sauf pragmatique… à moins de considérer la France en l’état, soit ce pays « riche de sa diversité » comme le dirait Nicolas Sarkozy lui-même. Le pragmatisme implique donc la simple prise en compte du réel, un statu quo, alors que c’est l’inverse qui devrait prévaloir, l’action du politique sur le réel.
Autre prise de position inquiétante, M. Hortefeux annonce déjà vouloir rencontrer les responsables des professions en manque de main d’œuvre, notamment dans le bâtiment, les services à la personne, l’hôtellerie et
On remercie toutefois M. Hortefeux pour ne pas vouloir procéder à de nouvelles régularisations massives ou pour réfléchir aux conditions du regroupement familial. Seulement, cela tient plus du minimum vital que de la rupture tant prônée pendant
En septembre 2001, les statistiques de la police danoise, rendues publiques, révélaient que 68 % des viols commis au Danemark étaient le fait de membres de minorités ethniques. En 2001 toujours, la police de Copenhague signalait que 47 % des prisonniers en détention préventive pour des crimes violents tels que le meurtre, la tentative de meurtre ou le viol, étaient d’origine immigrée.
Libellés : islamisation
« Maintenant que vous avez choisi Sarkozy, le croisé et le sioniste assoiffé du sang des enfants, des femmes et des vieillards musulmans (...), nous vous avertissons que les prochains jours verront une campagne djihadiste sanglante dans la capitale de Sarkozy ».
Les banlieues de la région parisienne accusaient le coup lundi après l'élection de Nicolas Sarkozy.
"C'est le choc. Un choc attendu, mais les gens ne voulaient pas y croire. Il n'y a jamais eu autant de mobilisation pour participer au vote dans les banlieues. Les gens sont déçus", selon Mohammed Chirani, du collectif "Votez banlieues!". Cette organisation avait été créée après les émeutes qui avaient secoué les banlieues à l'automne 2005 pour inciter les jeunes à exprimer leur mécontentement dans les urnes.
Il ne s'agissait pas tant de voter "pour la candidate socialiste Ségolène Royal, mais contre Sarkozy", a souligné M. Chirani, issu d'une famille immigrée de la Grande Borne, une gigantesque cité au sud de Paris.
Les banlieues ont voté en masse pour la socialiste Ségolène Royal.
A Trappes, ville du sud-ouest de Paris où se côtoient 70 nationalités et qui a voté à 70% pour la socialiste, les habitants affichaient la même déception. "Pour une fois qu'on s'impliquait dans la vie politique, on a encore l'impression de compter pour rien", a dit Mohammed, un étudiant.
Lundi matin, la direction de la police nationale a officiellement recensé 367 voitures incendiées, dont plus de 170 en région parisienne, et 270 interpellations. Un chiffre relativisé par la police, dans un pays qui enregistre de 70 à 100 véhicules brûlés par jour en moyenne.
Un autre collectif "AC le Feu", avait appelé dimanche les banlieues à ne pas "répondre par la violence" à la victoire de Nicolas Sarkozy.
Mais, a souligné Mohammed Chirani, "il va falloir s'attaquer vite" aux problèmes qui minent la banlieue, notamment au chômage, qui frappe parfois 40% des jeunes dans certaines cités.
"M. Sarkozy a fait campagne en dénigrant ouvertement les populations immigrées, et finalement il a dit qu'il voulait lancer un plan Marshall pour les banlieues. J'espère qu'il est sincère, parce que s'il en reste au tout sécuritaire, alors ça ne va pas aller, ça va être pire qu'en 2005", dit-il.
Les voitures brûlées, les poubelles incendiées, "ça va sûrement continuer si les flics changent pas de ton avec nous", expliquait Rodrigue Cancan, un Guadeloupéen de 22 ans à Trappes.
D'autres associations impliquées dans la défense des droits des immigrés faisaient part lundi de leur préoccupation.
Le Réseau Education sans Frontières, qui se bat pour la régularisation des parents sans-papiers d'enfants scolarisés en France, indiquait craindre des "expulsions massives". Le Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples (Mrap) se disait "extrêmement inquiet", alors que d'autres, comme France Terre d'Asile, regrettaient que "sur le dossier de l'immigration, la gauche classique (ait) été absente".
PARIS (AFP
Libellés : cloche, dhimmi, dhimmitude, eglise, sartrouville
Libellés : Guignol polfiction marx propane