mercredi 4 avril 2007
La gauche joue sur la peur et l'ignorance
La gauche emploie toujours la même tactique pour maintenir les Français dans l'assistanat, c'est à dire la tête sous l'eau: la peur. Il faut effrayer les Français en agitant le spectre du libéralisme tout en accolant à ce mot les pires épithètes pour conserver un système socialiste qui nous tire par le fond. Pourtant, à titre individuel, chacun voit bien qu'il y a quelque chose qui ne va pas, qu'on se paye royalement notre tête. Serions-nous des veaux?
Notre système social est merveilleux, la preuve: on paye tout en double.
La retraite avec les cotisations obligatoires qui ne constituent en rien une "assurance" puisqu'elles sont versées sans transition dans la poche des retraités d'aujourd'hui, tandis que l'on sait bien que personne ne les payera pour nous, aussi devons-nous en plus épargner en souscrivant à un produit bancaire, une assurance vie ou en investissant dans un autre type de placement.
L'assurance santé, dont les cotisations sont parmi les plus élevées d'Europe pour un remboursement dérisoire, ce qui implique une «assurance complémentaire» pour obtenir un remboursement à peu près décent. Comparativement, n'importe quelle assurance privée européenne permet de payer en une seule fois et beaucoup moins cher pour des prestations supérieures. Encore faut-il pouvoir y avoir accès, ce qui bien sûr, en régime socialiste est interdit.
L'assurance santé, dont les cotisations sont parmi les plus élevées d'Europe pour un remboursement dérisoire, ce qui implique une «assurance complémentaire» pour obtenir un remboursement à peu près décent. Comparativement, n'importe quelle assurance privée européenne permet de payer en une seule fois et beaucoup moins cher pour des prestations supérieures. Encore faut-il pouvoir y avoir accès, ce qui bien sûr, en régime socialiste est interdit.
Alors, face à ce bilan pitoyable, il reste le grand mot: la «solidarité» qui signifie après décodage qu'il ne faut surtout rien changer et serrer les fesses, en priant que la dette soit transférée sur la génération suivante, celle de nos enfants. Belle moralité!