dimanche 11 mars 2007
Mère convertie à l'Islam : Elle torture sa fillette avant de la poignarder
L'horreur dans l'horreur. Une jeune mère de famille a avoué dimanche soir aux policiers de la brigade de Sûreté urbaine (BSU) d'Albi, avoir tué sa petite fille âgée de 3 ans. Un meurtre précédé de tortures atroces sur l'enfant qui donne à cette affaire d'infanticide un caractère qui dépasse tout ce qu'on peut imaginer.
Les mots suffisent à peine pour retracer le calvaire de la petite Marie (prénom d'emprunt), tuée par sa maman vendredi soir dans son appartement d'un immeuble situé au 23, rue de la Curveillère. Victime d'une mère qui souffrait d'une maladie mentale grave, l'enfant maltraitée a connu une fin horrible. Caroline Darcheville, sa mère, s'est acharnée sur elle, parfois avec un couteau. Par respect pour la petite victime, nous ne citerons pas les sévices qu'elle a subis. Seules les déclarations de la mère et les constatations du médecin légiste, qui a pratiqué hier soir une autopsie, permettront de dire dans quel ordre les coups ont été portés et ceux qui se sont avérés mortels pour l'enfant.
Ce n'est que dimanche après-midi que la mère a appelé le mari de sa nounou, un policier, pour lui raconter son geste abominable. La jeune mère, qui tenait un discours relevant d'une maladie psychiatrique lourde, a été hospitalisée d'office et transférée dans un service du Bon-Sauveur. Selon des sources proches de l'enquête, le meurtre de son enfant serait à rapprocher, dans sa logique de malade, d'un rituel. « Satan lui sortait par les yeux », criait-elle.
Reste à savoir maintenant quel sort sera réservé à la meurtrière présumée.
Une expertise psychiatrique sera rapidement ordonnée. Elle devrait être déférée au parquet qui demandera l'ouverture d'une information pour faire toute la lumière, d'ici la fin de la semaine, sur cette tragédie.
L'enquête va déterminer si la jeune mère, malade et sans emploi, faisait l'objet d'un suivi psychiatrique. Et si tel était le cas, pourquoi avait-elle encore la garde de son enfant ?
La plus grande émotion régnait, hier, dans la rue de la Curveillère. La maman, originaire de Valenciennes, convertie à l'islam depuis quelques années, vivait seule avec son enfant depuis son arrivée à Albi en 2004.
Elle était très discrète depuis sa séparation avec son compagnon, il y a deux ans environ.
Paulette Ténes, une voisine, se souvient : « On se croisait temps en temps. Parfois, elle était voilée. L'été, on la voyait se promener avec la petite. Tous les jeudis, on reçoit Lucie, notre petite-fille de 11 ans. Elles parlaient toutes les deux sur le balcon. La fillette était mignonne et très gentille. Ça nous fait très mal, il ne faut pas toucher aux enfants ».
Les mots suffisent à peine pour retracer le calvaire de la petite Marie (prénom d'emprunt), tuée par sa maman vendredi soir dans son appartement d'un immeuble situé au 23, rue de la Curveillère. Victime d'une mère qui souffrait d'une maladie mentale grave, l'enfant maltraitée a connu une fin horrible. Caroline Darcheville, sa mère, s'est acharnée sur elle, parfois avec un couteau. Par respect pour la petite victime, nous ne citerons pas les sévices qu'elle a subis. Seules les déclarations de la mère et les constatations du médecin légiste, qui a pratiqué hier soir une autopsie, permettront de dire dans quel ordre les coups ont été portés et ceux qui se sont avérés mortels pour l'enfant.
Ce n'est que dimanche après-midi que la mère a appelé le mari de sa nounou, un policier, pour lui raconter son geste abominable. La jeune mère, qui tenait un discours relevant d'une maladie psychiatrique lourde, a été hospitalisée d'office et transférée dans un service du Bon-Sauveur. Selon des sources proches de l'enquête, le meurtre de son enfant serait à rapprocher, dans sa logique de malade, d'un rituel. « Satan lui sortait par les yeux », criait-elle.
Reste à savoir maintenant quel sort sera réservé à la meurtrière présumée.
Une expertise psychiatrique sera rapidement ordonnée. Elle devrait être déférée au parquet qui demandera l'ouverture d'une information pour faire toute la lumière, d'ici la fin de la semaine, sur cette tragédie.
L'enquête va déterminer si la jeune mère, malade et sans emploi, faisait l'objet d'un suivi psychiatrique. Et si tel était le cas, pourquoi avait-elle encore la garde de son enfant ?
La plus grande émotion régnait, hier, dans la rue de la Curveillère. La maman, originaire de Valenciennes, convertie à l'islam depuis quelques années, vivait seule avec son enfant depuis son arrivée à Albi en 2004.
Elle était très discrète depuis sa séparation avec son compagnon, il y a deux ans environ.
Paulette Ténes, une voisine, se souvient : « On se croisait temps en temps. Parfois, elle était voilée. L'été, on la voyait se promener avec la petite. Tous les jeudis, on reçoit Lucie, notre petite-fille de 11 ans. Elles parlaient toutes les deux sur le balcon. La fillette était mignonne et très gentille. Ça nous fait très mal, il ne faut pas toucher aux enfants ».