vendredi 17 novembre 2006
Enfants défenêstrés: trop de petits noirs.
Contrairement à ce qu’imagine Georges Frêche, il n’y a pas que dans le football que les noirs se distinguent. Une étude remarquable publiée par l’Agence Science Presse révèle que bien qu’ils ne représentent que 2,2% de la population en Île-de-France, les petits Noirs composent 40% des enfants qui tombent d’une fenêtre.
Les professionnels de la santé s’interrogent: cette surreprésentation s’expliquerait-elle par des raisons culturelles?
Patrick Meyer, anesthésiste-réanimateur à l’Hôpital Necker-Enfants malades en France, apporte des précisions pour l’Île-de-France, soit Paris et sa région métropolitaine. Ce sont en majorité des enfants de 18 mois de familles qui vivent pour la moitié en logement social. Et elles habitent surtout le quartier Seine-St-Denis, la banlieue pauvre et multiethnique au nord-est de Paris.
Est-ce que ce phénomène ne serait pas une conséquence de l‘immigration de masse? Non, a-t-il répondu lors des Journées annuelles de la santé publique, tenues en octobre à Montréal où il présentait ces statistiques. Les Arabes ne ressortent pas dans les statistiques, ni les Asiatiques qui habitent pourtant les immeubles de grande hauteur du 13e arrondissement.
Alors pourquoi les Noirs Africains? C’est ce que l’anesthésiste réanimateur ne dit pas. La science a encore bien du chemin à faire….
Les professionnels de la santé s’interrogent: cette surreprésentation s’expliquerait-elle par des raisons culturelles?
Patrick Meyer, anesthésiste-réanimateur à l’Hôpital Necker-Enfants malades en France, apporte des précisions pour l’Île-de-France, soit Paris et sa région métropolitaine. Ce sont en majorité des enfants de 18 mois de familles qui vivent pour la moitié en logement social. Et elles habitent surtout le quartier Seine-St-Denis, la banlieue pauvre et multiethnique au nord-est de Paris.
Est-ce que ce phénomène ne serait pas une conséquence de l‘immigration de masse? Non, a-t-il répondu lors des Journées annuelles de la santé publique, tenues en octobre à Montréal où il présentait ces statistiques. Les Arabes ne ressortent pas dans les statistiques, ni les Asiatiques qui habitent pourtant les immeubles de grande hauteur du 13e arrondissement.
Alors pourquoi les Noirs Africains? C’est ce que l’anesthésiste réanimateur ne dit pas. La science a encore bien du chemin à faire….